Quand le travail rapproche [PV James]

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James/ Elena
"Quand le travail rapproche"

Les temps sont dures, les tensions entre Paliontos et Mélianas étaient de plus en plus présente et se faisaient ressentir de plus en plus sur la population de Valbrume. Et ceux encore plus depuis quelques semaines. Grâce à mon travail, j'ai les oreilles qui traînent au seins des châteaux. J'apprend pleins de choses et sais des choses que je ne suis pas supposé savoir. Lorsque je prend les mesures de leurs vêtements, ou que l'on procède aux essayages, nous sommes souvent seul, une intimité, professionnel néanmoins aide à délier les langues et favorise les bavardages. Ainsi je suis au courant de nombreux ragots, des choses plus où moins importantes d'ailleurs. C'est à la fois pratique et divertissant.

Dernièrement il semblerait que la mode soit au disparition de princesses... Une promise au roi Erom s'enfuis, laissant se dernier dans une colère noire... Le plus dommage est que ça colère se répercute sur les citoyens... Mais qui pouvait en blâmer la princesse, pas moi en tout cas, à sa place j'aurais certainement fais la même chose. Sa vie avec le roi Erom n'aurait été que souffrance. L'autre... Eden Campbell c'est faites kidnappée par les Paliontos... Pour l'avoir déjà rencontrée, il ne fait nule doute que c'est son tempérament de feu qui la mis dans cette périeuse situation, et au Castel Paliontis, je ne donne pas chère de sa vie... Pauvre enfant.

Mon atelier qui est aussi ma boutique est en plein centre ville de Valbrume. Mon commerce marche très bien, mes talents de couturière ne sont plus à prouver à qui que ce soit. Le bouche à oreille est la meilleur des publicité. J'ai toujours des commandes en cours, je suis une acharnée, consciencieuse dans ce que je fais il m'arrive de travailler jusqu'à tard le soir, et de reprendre tôt le matin. Je n'ai jamais eut à essuyer le moindre retard pour une commande, et je ne compte pas commencer de si tôt. Certains diront que je me tue à la tâche et me conseil de lever le pied, mais mon travaille et aussi ma passion, et il m'aide à oublier les fantômes de mon passé.

Dans mon atelier je travaillais minutieusement sur une commande lorsque la clochette accrochée à la porte m'avertis que quelqu'un vient d'entrer. Dans mon arrière boutique, je pose mon ouvrage et me lève. Défroissant ma robe d'un geste de la main. Une robe de couleur parme, mes cheveux châtain cascadaient dans mon dos. Quelques mèches me gênant pour travailler étaient retenus avec une barrette à l'arrière.

Je passe l'encadrement de la porte, pénétrant dans la boutique. Un sourire étira mes lèvres lorsque je vis qu'il s'agissait de James BlackBird. Il était mon seul fournisseur d'étoffes et tissus en tout genre, il avait des produits d'une qualité rare et pour couronner le tout, comme la cerise sur le gâteau, il était tout bonnement charmant.

- Monsieur Blackbird, quel bon vent vous amène.

Dis-je en m'approchant de lui, un charmant sourire peint sur mon visage de poupée.

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Elena& James

Quand le travail rapproche

Après ma réunion avec Gabriel et Maëlya, je fonça vers le seul commerce auquel j'avais pensé afin de répondre à ma mission : trouver des masques pour paraître incognito à la citadelle, le moment venu.

Mais avant cela, il me fallait retourner à ma boutique dans laquelle je stockais mes tissus. Je n'allais pas partir à la rencontre de la meilleure couturière de la ville sans la matière première ! J'avais déjà une idée bien précise de ce que je voulais pour ces masques : une couleur neutre, comme le marron par exemple, dans la matière cuir tannée que j'affectionnais particulièrement, surtout ces temps-ci. J'ai sélectionné une bonne quantité du meilleur choix de ce cuir tanné, puis me suis dirigé vers la boutique d'Elena Jones, la meilleure couturière de la ville, qui était aussi une boutique partenaire à la mienne puisqu'elle venait souvent se servir de mes tissus, et moi de ces talents pour les mettre en valeur.

C'est vrai que pour me faire un nom et une place au sein du haut gratin royal, il me fallait pouvoir présenter mes étoffes comme travail fini. Je demandais donc très souvent à Elena de me confectionner des robes à partir de tissus que j'avais moi-même sélectionnés, mais pas uniquement ! Je lui demandais des coiffes, des châles, mouchoirs en tout genre, chemises et pantalons. Or, je ne lui avait encore jamais commandé de masque !
Comment allais-je bien pouvoir faire pour que ma commande si express reste crédible dans mon travail et que je ne me fasse pas découvrir ? Il fallait absolument que je réfléchisse à cela en chemin...

Lorsque je franchis le pas de la porte de l'entrée de la boutique, c'est une très jolie voix féminine qui m'accueilli. Et ce ne fut, je doit le dire, pas pour m'en déplaire, c'est vrai qu'il est difficile de résister aux charmes de la belle Elena. Reprenant mes esprits, je choisi l'attitude du parfait séducteur. Après tout, il n'était pas rare que ce soit cet apparat que j'utilise en sa compagnie...

"Bonjour ma belle Elena ! Comment vous portez vous ? Je suis bien heureux de vous revoir si vite !"

Je lui adressais mon plus beau sourire, adoptant une attitude décontractée, bien qu'en réalité, je ne l'étais pas tellement... Je m'inquiétais énormément de sa réaction lorsque je lui demanderais de me coudre dix masques en cuir pour le soir même... Allait-elle accepter ? Ma réponse allait être vite vue...

"Vous allez me trouver fou, mais j'ai un service à vous demander... Demain après-midi, je vais exposer mes tissus aux hauts dignitaires Paliontos, et j'aurais eu besoin de mettre en valeur mes tissus, en particulier celui-ci..."

Je lui tendait le précieux tissus que je lui avait apporté. Ne cessant de lui sourire, je poursuivis...

"Je voudrais le transformer en masques. Il m'en faudrait une dizaine, je cherche à impressionner ces hommes Paliontos. Accepteriez vous de m'aider ? J'en ai besoin pour ce soir..."

J'étais sûr que cela allait l'embêter... Elle n'avait pas que moi comme client et puis cela représentait beaucoup de travail pour une journée. Mais il me les fallait absolument ! Il fallait que je sois convainquant !

"Je vous paierais le prix que vous m'en demanderez ne vous inquiétez pas pour cela. Et puis si jamais vous avez besoin de mon aide, je peux rester et apprendre de votre savoir. Je participerais ainsi à ma commande..."

Petit à petit, je me détendis. Il fallait que je la fasse sourire, et qu'elle se prête au défi.

"Et puis, cela vous permettras d'avoir un homme grand et fort à votre service pour la journée..."

Je m'amusais à lui lancer des petits clins d'œil moqueur... Après tout, cela ne me déplairais pas de me retrouver en si bonne compagnie...

>James Blackbird… Fidèle à lui-même il arbore cette attitude du parfait séducteur. Il n’était pas rare qu’il se comporte ainsi en ma compagnie, et ce n’est pas pour me déplaire. Je m’en amuse, rentre dans son jeu la plus part du temps. C’est comme un jeu pour lui je pense comme pour moi.

« Toujours aussi flatteur James. » Lui répondis-je avec un sourire amusé. « Je me porte bien, les affaires vont pour le mieux, c’est le principale. »

Terminais-je mon sourire toujours peint sur mon visage. Je me doute que sa visite n’a pas pour seul but de me flatter et me faire des courbettes. J’avais raison. Sa requête ne tarda pas à tomber. Il avait une commande particulière à me faire. Lorsqu’il m’annonce avoir à présenter des tissus aux Paliontos demain après-midi, mes sourcils se froncent légèrement. Puis je me penche sur le cuir qu’il me montre, laissant mes doigts le parcourir quelques instants. Dix masques pour le soir même… Le délai était très court, et James m’avais habitué à des délais plus longs pour ses commandes. Néanmoins je comprends qu’il veuille impressionner ses abrutis de Paliontos… Ils ont de l’argent et c’est bon pour notre commerce.

Silencieuse, je l’écoute. Prêt à payer le prix que j’en demande… Sur ce point je sais que je peux lui faire confiance. De plus sans lui et les étoffes qu’il vend je n’aurais pas de travail. Je ne sais pas si il est conscients à quel point il m’est précieux sur le plan professionnel. Il me fallait le bichonner. Lorsqu’il me proposa son aide pour sa commande un sourire amusé vient étirer mes lèvres. Avec une proposition pareille je ne pouvais pas refuser son offre.

Je m’amuse de la situation, un homme tel que lui à mon service… alors que certaines se damneraient pour un seul de ses sourires. Sans un mot, je me détourner de lui et me dirige vers la porte d’entrée de ma boutique et tourne le petit écriteau indiquant que mon magasin était ouvert pour que de l’extérieur le mot « fermé » se lise de l’extérieur.

« Je prends votre commande James…. J’aime les défis. »

Dis-je avec un sourire amusé lorsque je me rapproche de lui. Mes doigts viennent caresser le cuir. Ce cuir est une pure merveille, et le travailler en bonne compagnie sera un plaisir. Face à lui, mes prunelles viennent s’ancrer dans les siennes. J’avais noté ses petits clins d’œil moqueurs à mon égard. Il savait que je ne refuserais pas son offre présentée sous cet angle.

« De plus, votre proposition est trop tentante pour que je la refuse. Je ferme le magasin pour la journée, car si nous sommes dérangés nous ne finirons jamais vos masques dans les temps. »

Je prends les morceaux de cuire et me dirige vers mon atelier à l’arrière de la boutique invitant James à me suivre.

« J’espère que vous n’aviez pas rendez-vous avec une demoiselle ce soir James…. » Un sourire moqueur étire mes lèvres. La réputation de séducteur de James n’était plus à faire et je le taquine souvent à ce sujet. « Car nous en avons pour toute la journée et certainement une bonne partie de la soirée. »

Dis-je mes prunelles dans les siennes. Sa compagnie était loin d’être déplaisante et travailler en duo allait me changer les idées. J’étale le cuir sur la table de façon à ce que l’envers de l’étoffe me fasse face. Je sors un gabarit de masque de mes tiroirs et le dispose sur le cuir pour dessiner le dessiner. Je le regarde.

« Tu préfères tracer les contours des différentes pièces ou les découper ? »

L’observer se donner à un travail convenant plus aux femmes d’ordinaire m’amuse.

Je fut bien soulagé de m'apercevoir qu'Elena acceptait de me rendre cet immense service. Bien sûr, j'allais la payer, mais elle n'était pas obligé de le faire si rapidement.

Se dirigeant vers la porte, elle indiqua que sa boutique serait fermée pour la journée. J'en fut une nouvelle fois fort touché. Et le comble de ma joie ne s'arrêta pas là : elle acceptait que je lui vienne en aide pour confectionner ces masques.
J'allais donc pouvoir passer un bon moment aux côtés de cette magnifique jeune femme, et ce n'était pas pour m'en déplaire !

J'aimais user de mon charme, après tout, cela me permettait d'entretenir de très bonnes relations avec la gente féminine, je ne voulais pas que cela se perde !

Je la suivie donc dans l'arrière boutique, là où elle confectionnait ses merveilles.
J'allais la voir à l'oeuvre, et j'en étais très heureux.

Elle me taquina en me demandant si je n'avais aucun rendez-vous avec une jeune demoiselle ce soir, car nous allions finir tard. Cela me fit assez marrer, je dois l'avouer.
Non, à vrai dire, pour un soir, elle allait réussir à m'empêcher de détruire plus mon foie !
Mon seul but ce soir allait être de boire encore et encore, jusqu'à tout simplement oublier de réfléchir...

Donc à dire vrai, je pense que le plus bénéfique allait être de me retrouver à ses côtés.

"Oh, non pas ce soir, ma chère Elena. Ou du moins, je dirais que mon rendez-vous avec une jeune demoiselle va tout de même avoir lieu, c'est quand même vrai..."

Je lui affichait un clin d’œil, pour ensuite partir dans un fou rire. Cela m'amusait beaucoup, elle m'amusait beaucoup.

Elle finit par me demander si je préférais tracer les contours ou les découper. J'avoue, je choisis la tâche la plus simpliste, à savoir, découper les contours déjà tracés. C'était plus simple pour moi, après tout, je n'avais pas son talent !

"Je pense que je vais aller au plus simple et choisir de découper !"

Je lui adressais toujours mon plus beau sourire, puis m'installa à la table atelier où nous allions travailler. J'exposais le tissus, et la laissa commencer.

"Après vous, ma chère Elena, je vous laisse donc l'honneur de tracer sur ce magnifique tissu !
Dites-moi j'avais oublié de vous demander, mais j'espère qu'aucun jeune homme ne vous attendait ce soir... Parce que vous allez être fort embêté pour nous combler tous les deux..."

Toujours dans mon rôle de charmeur, je lui adressait à nouveau un clin d’œil taquin.
Le travail allait enfin pouvoir commencer ! Et il y avait du boulot, je dois dire !

James reste fidèle à lui-même : un charmeur hors paire. Je l'ais toujours connus ainsi et je m'amuse de voir les ravages qu'il peut faire auprès de la gente féminine. Les femmes sont attirées par sa personne comme le miel attire les abeilles. Moi, je ne me noie pas dans ses sourire charmeur, je le connais trop bien maintenant pour me laisser avoir pr sa belle gueule. Néanmoins, je l'apprécies beaucoup et il m'arrive je jouer au même jeu que lui auprès des hommes.

Depuis le temps que nous nous connaissions je ne pouvais pas refuser sa demande aussi pressée soit-elle. Sans lui et ses étoffes qu'il vends aux grands du royaume, je n'aurai pas autant de travail, et pas de produits d'aussi bonne qualité pour le réaliser.

Je souris, lorsqu'il compare notre collaboration créative à une sorte de rendez vous galant. Je préfère moi aussi voir ce moment ainsi. Sans parler du faite que créer en sa compagnie m'est très agréable.

" Vos admiratrices me pardonnerons de vous accaparer une journée entière ?"

Dis je un sourire amusé peint sur le visage, pour le taquiner quand je sais parfaitement que certaines donzelles se damneraient pour obtenir son attention une journée entière.

Je lui souris quand il choisi de découper les morceau de tissus lorsque j'en aurai dessiné les contours. Un clin d'œil à son attention, et je me met illico au travail. Nous n'avions pas une secondes à perdre si nous voulions terminer la commande dans les temps.

Mes doigts s'égare sur le tissus, le caressant et décelant de ce dernier toute la beauté. Les masque seront magnifiques avec une telle matière première.

"Vous gâtez bien trop ses Paliontos James. Un tel tissus, est bien trop beaux et délicats pour les brutes sanguinaires qu'ils sont."

Dis je perdus dans mes pensés et dans la haine que je porte à ses hommes. Ils m'ont pris ce qui comptait le plus à mes yeux. C'est ma haine pour eux qui me pousse à me surpasser et à réussir dans tout ce que j'entreprend. J'ai conscience que moi aussi je travail de façon régulière pour eux, mais il m'est très dur de pénétrer dans leur château pour leur confectionner de quoi se vêtir... Ils me dégoute et même si je le cache habilement devant eux je n'en pense pas moins.

"Même si quelqu'un m'attendait James, je sais ou sont mes priorités..." Dis je avec un sourire, quand pour moi il m'apparaît comme une évidence de venir en aide à un ami de longue date comme lui. "Nous nous connaissons depuis longtemps maintenant James, et sachez je fais toujours passer mes amis avant mes amants."

Dis je en appuyant mes dires d'un clin d'œil à son attention quand en me connaissant il sait que je ne me prive pas des plaisirs charnel si j'en éprouve le besoin. Je ne fais pas partie des femmes refreinant leur envies par soucis de bienséance.

Reprenant ensuite mon œuvre. Le temps passe et les masques sont tous tracés et découpés par nos soin. Le temps passe et le soleil commence à se coucher lorsque j'entreprend de les coudre.

Le travail était fastidieux mais, auprès d'Elena, tout était possible après tout !
Je ne l'avais jamais vu manqué à sa promesse, quand elle se fixait un objectif, on pouvait être sûr qu'elle irait au bout de son projet.

Elena s'amusait à toujours me taquiner sur ma réputation de Don Juan. Il faut dire que j'aimais en jouer, quand je ne noyais pas mon chagrin dans l'alcool.

"Oh, je pense que mon public pourra se passer de moi ce soir"

Bien sûr que je rigolais, quand je disais ça, mais je tachais de garder le plus possible mon sérieux afin de paraître crédible. Je voulais qu'on me croit charmeur, et non simple informateur. Ma couverture était parfaite pour recueillir le plus d'informations possible. Un simple regard suffisait parfois à délier la langue d'une femme. Si si, je vous assure ! Certaines d'entre elles sont vraiment naïves...

La finesse des tissus que je lui proposait semblait beaucoup lui plaire. Je savais qu'elle aimait profiter des meilleurs produits pour son art.
Les doigts de fée d'Elena étaient impressionnants ! Elle parvenait à créer des pièces uniques que bon nombre de clients s'arrachaient.
Une chose pourtant que j'ignorais : elle semblait ne pas beaucoup apprécier les Paliontos, et je dois avouer que ce point là, m'intéressait.

"Des brutes sanguinaires ? Je dois admettre que la comparaison est parfaite, mais, j'ignorais que vous ne portiez pas à cœur de faire des Paliontos votre clientèle !"

Je paraissais peut intéressé par la question que je venais de lui poser, mais cela était en réalité tout autre.
Je voulais en savoir plus. Cela était uniquement de l'humour, ou me permettait elle d'entrevoir qu'il ne s'agissait pas d'une simple Noriendellienne qui se moquait des deux clans, vivant sa vie paisiblement. N'y avait il pas plus que cela ?

Je voulais profiter de ce moment en tête à tête pour percer quelques uns de ses mystères. Mais depuis le temps que je la connaissais, je n'étais pas souvent parvenue à lever son masque.

"Je suis content de me savoir parmi vos amis, car, qui sait ce que vous êtes capable de faire de vos ennemis ! "

Je la taquinais tout en lui montrant mes pièces de cuir que je venais de découper. Je faisais allusion à ce que le cuir soit l'ennemi, et moi, elle en train de les découper en morceaux.

Le temps filait plus vite que je ne le croyait. Il était assez rapide pour moi de découper les contour du patron déjà établi par Elena. Je ne savais plus trop quoi faire alors je la regardais coudre.

"J'espère ne pas trop vous troublez, en vous observant. Je suis connu pour faire chavirer les cœurs, mais je suis déçu de ne pas être encore parvenu à vous faire ne serait-ce que bouger un cil pour moi."

Je plaisantais. J'aimais jouer à ce jeu avec elle. Cela m'amusait toujours, car elle avait un répondant incomparable !

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